Reportage de « 7 à Limoges » sur les fouilles archéologiques de la place Fournier. (25 février 2021)

Dans le cadre du projet de réaménagement de la place de la République, ainsi que des voies et places adjacentes au coeur de Limoges, l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) mène, sur prescription de l’État (Service régional de l’archéologie, Drac Nouvelle-Aquitaine – site de Limoges), une surveillance archéologique des travaux depuis juin 2018.

Publié le 25 février 2021

Une fouille extensive a été demandée plus particulièrement à l’emplacement de la place Fournier, zone sur laquelle des sondages ouverts en 2016 avaient révélé la présence de tombes à seulement 40 centimètres sous la surface des rues et trottoirs. Cette fouille, débutée le 8 février dernier, se situe en bordure d’un des pôles urbains médiévaux entre la grande abbaye Saint-Martial au nord et la chapelle de la Courtine au sud-ouest.

L’enjeu principal de cette intervention est d’observer l’évolution du quartier aux périodes médiévale et moderne. Il s’agit de définir les limites des systèmes défensifs du Xe au XIIe siècle, avant leur extension au XIIIe siècle jusqu’aux boulevards actuels (carrefour Tourny). On sait que dès le Xe siècle, l’abbaye s’entoure d’une fortification, sans doute un large fossé, qui s’agrandira par la suite pour intégrer la motte vicomtale implantée sur la place de la Motte. Ces fossés visibles en surface aujourd’hui sur la fouille, peuvent atteindre 20 m de large pour une profondeur de près de 5 m.

Une partie du chevet de l’abbatiale du Sauveur a aussi été découverte sous la forme d’une absidiole. Entre cette dernière et le mur d’enclos s’étend le cimetière. Certaines tombes sont « en pleine terre » (l’individu était enterré dans un linceul ou un cercueil de bois disparu), d’autres ont leurs parois doublées d’alignements de pierres. Les plus nombreuses cependant sont aménagées à l’aide de carreaux de terre cuite rouge.

Les squelettes sont dégagés minutieusement par les anthropologues. Après observations et prélèvements, les ossements feront l’objet d’une étude en laboratoire dans le but d’obtenir des informations sur la population inhumée, le sexe, l’âge des individus et éventuellement d’identifier des pathologies.

À ce jour, deux ossuaires ont été dégagés, ce sont de petits édifices maçonnés de plan carré.

On mentionnera aussi la découverte d’un grand four destiné à la fabrication d’une cloche. Des pierres de l’abbaye moulurées et peintes de couleurs vives ont été réutilisées dans la confection de ce four.

Ce site renouvellera les connaissances sur l’organisation de ce quartier de Limoges à la période médiévale.

Les fouilles antérieures ont apporté de nombreuses informations sur les édifices religieux eux-mêmes, ce secteur était jusqu’alors inconnu archéologiquement. En effet, les plans les plus précis et les plus anciens à notre disposition remontent au plus tôt à la seconde moitié du XVIIIe siècle. Chacune des structures ou chacun des niveaux est susceptible de livrer du mobilier archéologique : ossement, céramique, éléments
métalliques, pierres taillées… Ce mobilier, après lavage, sera étudié de manière à en tirer des datations et des informations sur la vie quotidienne des habitants.

https://www.limoges.fr/actualites/les-fouilles-archeologiques-place-fournier

Publié dans Uncategorized | Laisser un commentaire

Le chœur de la basilique de Saint Martial un temps ressuscité (A.T.)

            “Cette vaste basilique telle qu’elle existait au moment de la Révolution avait 237 pieds de longueur sur 112 de large à la croisée [1] et 54 à la nef [2] . Sa principale entrée était par la porte du clocher, en face de la rue qui descend de Saint Michel appelée rue du clocher. On descendait dans l’église par une vingtaine de marches.

            Elle formait une croix au centre de laquelle s’élevait une coupole d’une telle concavité que les connaisseurs était étonnés de la qualité de l’ouvrage.

            Le sanctuaire [3] et le choeur étaient comme celui de la cathédrale renfermés dans une même enceinte… [Celle-ci] était continue entre les piliers par de belles grilles en fer d’un travail compliqué mais fini. À hauteur d’environ 12 à 14 pieds elles étaient surmontées d’ornements formant la pyramide. On y voyait des anges, des cornnes d’abondance dorées, etc.

            Le sanctuaire, par son élévation, sa grandeur, sa clarté, était trés majestueux et propice aux cérémonies. Il occupait le rond-point [4] de l’enceinte. L’autel était placé et isolé au milieu…

            Au fond du sanctuaire était adossée au mur une superbe impériale [5] en bois doré. Les aigrettes [6] s’élevaient jusqu’à la voûte. Au milieu de la draperie était la châsse qui renfermait sous onze [7] clefs le chef [8] de saint Martial. Elle était toute en vermeil [9] . Celle dont les confrères de la grande Confrérie firent don à la fabrique en 1809 n’en approche en rien, toute belle qu’elle est, ni pour son travail ni par sa grandeur [10] …

            La châsse de Saint Martial était derrière une grille en fer, fermée elle même par des portes garnies de fortes bandes de fer, auxquelles étaient d’énormes cadenas. Ces portes étaient masquées par un tableau représentant l’apparition de Sainte Valérie à Saint Martial après son martyre, ou par un contre-autel en drap d’or. Au-dessus du cintre qui couronnait l’encadrement était un ange de grandeur naturelle, tenant suspendu par une main le corpus elevatum [11] . Aux deux extrémités étaient aussi deux anges adorateurs; le tout d’une sculpture rare et d’une dorure soignée.

            Deux énormes colonnes torses ornées de sculptures et reliefs représentant des ceps de vigne, où se trouvaient des oiseaux, de serpents, soutenaient le dessus de l’impériale surmontée de beaux panaches avec une aigrette au milieu s’élevant jusqu’à la voûte, le tout bien sculpté et doré.

            Au-dessus de l’autel était suspendu un grand dais en velours garni de crépines pour le garantir de la poussière de la voûte.

            Il y avait dans le sanctuaire, du côté de l’Évangile, une statue comme d’enfant de chœur ayant un genou en terre, tenant un chandelier appuyé sur l’autre. On y entretrenait jour et nuit une bougie allumée ; on regardait cela comme une amende honorable continuelle, en réparation d’un attentat qui aurait eu lieu sur la personne d’un chanoine, pendant ses fonctions dans le sanctuaire, par un échevin.

            Le contour du sanctuaire était orné d’un double rang de tapisseries d’Aubusson représentant des traits de l’Écriture Sainte. Chacun était dans un bel encadrement faisant partie de la boiserie qui formait la hauteur d’appui. Il y avait aussi dans le sanctuaire les tombeaux de cardinaux de Mende et de Sarragosse.

           En descendant du sanctuaire, on trouvait des grilles collatérales. C’était au bas de la dernière marche qu’avait été inhumé l’avant-dernier abbé, M. Montesquiou, qui fut exhumé quant on détruisit l’église, pour avoir la bière [12] en plomb [13] , sans être arrêté par le respect que devaient inspirer ses cendres.”

BIBLIO : Abbé Bullat , Tableau ecclésiastique et religieux de la ville de Limoges  in Chroniques ecclésiastiques du Limousin, publiées et annotées par l’abbé Lecler, éd. J. Mazeyrie, Tulle, 1890

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5487238g à compter de la page  362

Paris).

[1] – Médecin anatomiste (1791 – Limoges ; ( = 1874 – Sussac).

[1] – http://blogpfournier.typepad.fr/ [1] – Timbre poste de format jorizontal 35×26. Création et gravure  d’Elsa Catelin.

[2] – Croisée du transept, c’est-à-dire l’endroit où les deux  axes de l’église formant ordinairement une croix se rencontrent.

[3] – Traduites en mètres, les dimensions de la basilique seraient approximativement de 100 m pour la longueur, 34 m pour la largeur à la croisée, 17 m pour celle de la nef.

[4] – Partie de l’église abritant le maître-autel c’est-à-dire, à l’époque, vers l’extrémité supérieure de l’axe le plus long de l’église. [4]  – La basilique ne s’arrêtait p as là pour autant. Derrière le maître-autel prenaient encore place le déambulatoire et les chapelles le bornant, de part et d’autre de la chapelle axiale.

[5] – Dôme en forme de couronne.

[6] – Par analogie avec le faisceau de plumes surmontant la tête de certains, éléments décoratifs placés en bouquet.

[7] – La nouvelle chasse n’est plus protégée “que” par quatre clefs . L’une est à la garde de Mgr l’Évêque de Limoges,  Une autre est confiée au Premier Bayle de la Grande Confrérie de Saint-Martial,Une autre encore est protégée par M. le Curé de Saint-Michel-des-Lions,  La dernière enfin est dans les mains du maire de la ville de Limoges.

[9] – (Vocabulaire catholique). Chef est le synonyme de crâne. Le chef offert à la vénération des fidèles est donc ce qui reste du crâne de l’apôtre d’Aquitaine.

[10] – Argent recouvert d’une couche d’or. [11] – Cette châsse pèse quand même 450 kgs et il ne faut pas moins de 12 confrères de la confrérie des Porteurs de la Châsse pour la déplacer lors des cérémonies.

[11] – La réserve eucharistique, c’est-à-dire les hosties consacrées lors de messes précédentes.

[12] – Ou cercueil

(13) – ???

Publié dans Uncategorized | Laisser un commentaire

Glanes fontevristes. PERTUÉ, René Marie (1751-1824)

PERTUÉ, René Marie (1751-1824)

http://philidor.cmbv.fr/ark:/13681/1hdkx5xyrvgnzebqi6j6/not-566728

État civilNOM : PERTUÉ     Prénom(s) : René Marie     Sexe : M
Date(s) : 1751-12-7  / 1824-8-24
Notes biographiques

René Marie PERTUÉ est angevin. Il a été confesseur des moniales du prieuré fontevriste de Guesnes près de Loudun [Vienne]. Il n’est pas répertorié à l’inventaire 1790 de l’abbaye royale de Fontevraud [M&L]. Son activité musicale de sous chantre à la cathédrale d‘Angers n’est connue qu’après le Concordat. 

• 7 décembre 1751, Angers [M&L] : René Marie PERTUÉ fils d’un maître tailleur d’habits naît et est baptisé Collégiale Saint Martin. Sa formation peut être comme enfant de chœur n’est pas attestée.

• 1769 [?]-1790 : René Marie PERTUÉ est selon toute vraisemblance au service de l’abbaye royale de Fontevraud. N’étant pas mentionné à l’inventaire de 1790, il est probable qu’il soit religieux issu de Fontevraud et missionné par l’abbesse dans l’un des prieurés fontevristes.

 1790 ca, Guesnes [Vienne] : René Marie a 39 ans. Son titre de confesseur des moniales du prieuré fontevriste de Guesnes près de Loudun [Vienne] indique qu’il est issu de Saint-Jean-de-l’Habit, clôture masculine de l’abbaye royale de Fontevraud et qu’il a la confiance de l’abbesse pour être diligenté dans un prieuré. En 1790, il quitte le prieuré avec une rémunération de 900 livres identique à celle perçue par les religieux de Saint-Jean-de-l’Habit.


• 1803-1824, Angers : chanoine honoraire et sous-chantre de la cathédrale d’Angers sous le Concordat puis aumônier de Mme de Jully à Chateaubriant [Loire Atlantique]. Le nom de Pertué n’est pas cité parmi les musiciens de la cathédrale.

• 11 août 1824, Angers : René Marie PERTUÉ s’éteint rue St Aubin, à proximité de la cathédrale à plus de 72 ans. Ce sont ses neveux qui déclarent le décès. Il est dit prêtre pensionné, chanoine honoraire de l’église d’Angers.

Le parcours de René Marie PERTUÉ confirme les connaissances et compétences en chant des religieux de l’abbaye royale de Fontevraud dont les reconversions vers l’enseignement et l’église après le Concordat sont fréquentes.

Mise à jour : 2 août 2019SourcesC. Port, Dictionnaire historique…, 1978 ; Dom Saunier, « Le chant à Fontevraud », 303, 2003 ; E. Verry, « La longue nuit de l’abbaye », 303, 2003 ; F-Ad49/ 101 H 159 ; F-Ad49/ 101 H 17/1 ; F-Ad49/ Angers NMD  ; F-Ad49/ BMS Angers St Martin ; F.Y. Besnard, Un prêtre en révolution…2011 ; Mémoire de la société d’Agriculture… 1913 ; P. Lusseau, L’abbaye royale de Fontevraud aux 17ème et 18ème…, 1986 ; https://prieuresfontevristes… /prieure-de-guesnes/

http://philidor.cmbv.fr/Publications/Bases-prosopographiques/MUSEFREM-Base-de-donnees-prosopographique-des-musiciens-d-Eglise-en-1790/Notices/PERTUE-Rene-Marie/(from)/search

Publié dans Uncategorized | Laisser un commentaire

A deux pas de l’Ancienne Basilique Saint Martial de Limoges, à la recherche de l’église Sainte-Marie de la Courtine

Fouille archéologique du cimetière et de l’église Sainte-Marie de la Courtine

La destruction du restaurant Flunch, des travaux de terrassement à proximité de la Place de la République et nous voilà projetés vers un lointain passé.  Des éléments archéologiques pour le moins intéressant se révèlent au grand jour. Le chantier de la future implantation d’Eurodif est momentanément arrêté pour laisser la place aux spécialistes, mandatés par la DRAC, qui vont tenter dans le peu de temps qui leur est imparti de faire le meilleur bilan possible de tout ce qu’ils peuvent mettre à jour.

Publié dans HISTOIRE DE LIMOGES | Tagué , | Laisser un commentaire

La virée de Galerne de Cholet (49300) jusqu’aux marais de Savenay (44260)

1793_GVendee_2

https://fr.wikipedia.org/wiki/Virée_de_Galerne

https://www.la-chouette-de-vendee.fr/blog/params/post/888932/

http://www.vendeensetchouans.com/tag/Virée%20de%20Galerne

http://www.vendeensetchouans.com/tag/Virée%20de%20Galerne

Publié dans Uncategorized | 1 commentaire

Etant monté à l’autel, le prêtre embrasse les reliques qui sont  dans la pierre d’autel

MetaBlog


Les reliques qui sont ici

Posted: 05 Apr 2020 06:15 AM PDT

Etant monté à l’autel, le prêtre embrasse les reliques qui sont  dans la pierre d’autel : « Nous vous prions Seigneur, par les mérites de vos saints dont les reliques sont ici et de tous les saints pour que vous daigniez me pardonner tous mes péchés Amen. Saint Augustin, avec le sens pédagogique qui est le sien, expliquait déjà au cours d’un sermon sur saint Etienne le sens des reliques, avec ces paroles claires : « Nous ne dressons pas un autel à saint Etienne mais nous faisons à Dieu un autel des reliques de saint Etienne » (Sermon 318).
Les reliques ont mauvaise presse aujourd’hui, ne serait-ce que parce que certains se sont livrés autour d’elles à un honteux trafic. Mais le culte des reliques a été l’une des premières manifestations religieuses dans la primitive Eglise. L’un des premiers texte chrétiens, qui date de 160 environ, raconte la passion de saint Polycarpe, « évêque de l’Eglise catholique de Smyrne »,  lui même disciple de saint Jean l’Evangéliste. Pour que les chrétiens ne viennent pas récupérer les reliques de cet homme vénérable dévoré par les bêtes, « Le centurion exposa le corps au milieu de la place, comme c’est l’usage et le fit brûler. C’est ainsi que nous revînmes plus tard recueillir les cendres que nous jugions plus précieuses que des pierreries et qui nous étaient plus chères que de l’or. Nous les déposâmes dans un lieu de notre choix. C’est là que le Seigneur nous donnera, autant que faire se pourra, de nous réunir dans la joie et la fête, pour y célébrer l’anniversaire de son martyre et pour nous souvenir de ceux qui ont combattu avec lui ».
Ce texte vénérable nous enseigne que le culte des reliques est bien présent en ce temps fort proche de l’origine chrétienne. La quête des reliques semble aller de soi dès cette époque (c’est le plus ancien récit de martyre qui nous soit parvenu). Les adversaires des chrétiens (la communauté juive de Smyrne en l’occurrence) le savent puisqu’ils demandent que soient brûlés les corps après la mort des témoins. Et comme pour déjouer cet acharnement, les chrétiens récupèrent jusqu’aux cendres de leurs morts, et cela – on nous le précise – pour une célébration de l’anniversaire du supplice. La doctrine du culte des saints est déjà bien en place : pas question de confondre les saints avec le Christ lui-même : « Nous n’en adorerons jamais un autre. Nous vénérons le Christ parce qu’il est le Fils de Dieu et nous aimons les martyrs parce qu’ils sont les disciples et les imitateurs du Seigneur« . Ce culte des saints s’inscrit dans le calendrier à la date anniversaire, où ont lieu des cérémonies, à travers lesquels on se souvient des martyrs : c’est ici bien sûr l’embryon du calendrier liturgique, qui permet de se souvenir des saints (martyrs ou non) qui ont illustré l’histoire de l’Eglise.
Mais il y a plus extraordinaire encore à propos de ce culte des reliques qui est dès les premiers siècles partie intégrante du culte eucharistique. C’est un verset tiré de l’Apocalypse, texte écrit dans les années 70-80, qui se présente comme une vision, par Jean le disciple que Jésus aimait, du Sacrifice éternel et de l’Agneau de Dieu, en état d’immolation pour les péchés des hommes (cf. par exemple Apoc 5, 6). Nous reviendrons sur la signification de ce sacrifice céleste. Mais je voudrais insister sur le sacrifice terrestre qu’il représente, et en particulier sur le culte des reliques qui marque la toute première liturgie ecclésiale ; voici un verset étonnant qui matérialise ce culte : « Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l’autel, les âmes de ceux qui sont en état d’égorgement à cause de la parole de Dieu » (Apoc. 6, 9). Le rapport établi entre l’autel de Dieu, le sacrifice céleste de l’Agneau de Dieu et le culte des martyrs du temps présent (à quoi correspond le cinquième sceau, le temps d’avant les grandes catastrophes) est troublant et laisse penser que c’est une coutume vieille comme le christianisme lui-même, d’associer au culte du Christ sacrifié sur la croix pour nos péchés, le culte des hommes qui lui ont offert leur vie plutôt que de le trahir.
Conformément à la doctrine de la communion des saints, d’après laquelle les mérites des morts (et en particulier des martyrs) sont appliqués aux vivants, la prière que récite le prêtre en embrassant les reliques qui sont sur l’autel, demande le pardon de ses péchés au nom d’un « nous » [« nous te prions »] qui peut représenter soit les membres du clergé qui récitent ensemble cette prière pour le célébrant soit les fidèles qui sont prêtres eux-aussi et offrent le sacrifice de tous les saints pour celui qui ose, parce qu’il en a reçu le ministère, célébrer visiblement le sacrifice du Christ.

 

Publié dans TRADITION / Traditions | Tagué | Laisser un commentaire

Colloque pour le millénaire de l’Abbaye Saint Martial de Limoges.

https://fr.calameo.com/books/006196567282559440f6b?fbclid=IwAR2ZocW7tLJb6HRwpEy3s1eHGjgfmcfoiV6ge4mmkMthBYR_5B0ek_XewhI

Publié dans HISTOIRE DE LIMOGES | Tagué , , , | Laisser un commentaire

Visite virtuelle des fouilles de l’abbaye de Saint-Martial de Limoges

Publié dans Uncategorized | Tagué , , | 1 commentaire

8 décembre, illuminons nos fenêtres en l’honneur de Notre-Dame ! ( Message de 1985)

Il est  bien sur que la fête dite  des lumières  de Lyon dispose d’une antériorité et  d’une notoriété telle  que toute tentative de donner naissance  à une petite soeur et à Limoges en particulier ne peut  que  se heurter à de grandes difficultés… et j’en sais quelque  chose.

http://leblogdumesnil.unblog.fr/2012/11/27/2012-85-le-8-decembre-illuminons-nos-fenetres-en-lhonneur-de-notre-dame/

  Est ce  que  c’est pour  cela qu’il faut  définitivement  renoncer à demander aux Limougeauds de mettre des loupiotes à leur fenêtre lors de la  commémoration du miracle des Ardents célébré cette année le samedi 16 novembre 2019.

   Sans  doute pas  mais  lorsque  l’on voit  que ce samedi là  aucune messe n’a été  célébrée  en l’église Saint Joseph de Limoges en prélude à la procession, on s’interroge….

Alain TEXIER

En 2012 et ce n’est  qu’un exemple,  parmi beaucoup d’autres, une messe avait  été  célébrée .

* Le samedi 17 novembre 2012, à l’issue d’une messe célébrée à l’église Saint-Joseph (18h), une procession aux flambeaux partira de la rue des Coopérateurs et gagnera la rue Montjovis, la rue de l’Hermitage et enfin la rue du Désert.

Publié dans OPERATION LOUPIOTES | Tagué , , , , , , | Laisser un commentaire

Retrouver l’Abbaye Saint Martial de Limoges à l’occason d’une exposition au Musée des Beaux-Arts de la ville

https://fetedelasaintmartialdesardents.wordpress.com/2019/11/20/lorsque-labbaye-de-saint-martial-renait-de-ses-cendres/

Publié dans CELLULE SAINT MARTIAL DE LIMOGES et autres lieux | Tagué , , , | Laisser un commentaire